Communique de Presse
Le jugement rendu aujourd’hui par le Conseil des Prud’hommes d’Amiens est manifestement un jugement politique destiné à servir les intérêts de quelque uns.
Il semble, en effet, que dès qu’il s’agit de Maxime GREMETZ, certains considèrent qu’il faut à tout prix le faire perdre, lui comme tous les salariés qui font appel à son soutien dans leurs luttes.
Une procédure d’appel est engagée dès aujourd’hui et la Cour d’Amiens nous fera justice comme elle a déjà pu le faire entre autres pour les salariés d’Abélia Décors, d’Imtec, de Flodor et de tant d’autres dont les Prud’hommes d’Amiens, d’Abbeville et de Péronne avaient condamné les salariés donnant raison à la direction de ces groupes.
Pour sa part, Maxime GREMETZ restera toujours, comme il le fait encore aujourd’hui pour Goodyear- Dunlop, au côté des salariés.