Communique de Presse

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Le jugement rendu aujourd’hui par le Conseil des Prud’hommes d’Amiens est manifestement un jugement politique destiné à servir les intérêts de quelque uns.

 

Il semble, en effet, que dès qu’il s’agit de Maxime GREMETZ, certains considèrent qu’il faut à tout prix le faire perdre, lui comme tous les salariés qui font appel à son soutien dans leurs luttes.

 

Une procédure d’appel est engagée dès aujourd’hui et la Cour d’Amiens nous fera justice comme elle a déjà pu le faire entre autres pour les salariés d’Abélia Décors, d’Imtec, de Flodor et de tant d’autres dont les Prud’hommes d’Amiens, d’Abbeville et de Péronne avaient condamné les salariés donnant raison à la direction de ces groupes.

 

Pour sa part, Maxime GREMETZ restera toujours, comme il le fait encore aujourd’hui pour Goodyear- Dunlop, au côté des salariés.

 

 

Publié dans Maxime GREMETZ

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C
bouffon il est ,  bouffon il resteras
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F
Ce ZADIG... Sacré phénomène ! Même dans les films les méchants rouges ne parle plus comme lui ! 
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J
Bon, j'ai bien ri, mais on arrête là: - primo, l'accusation d'avoir voulu faire gagner le PS ne tient pas me concernant puisque j'ai fait loyalement la campagne législative de Maxime (j'ai rédigé par exemple son journal de campagne); - si je me suis présenté sous l'étiquette "communiste et républicain", c'est justement car... je n'avais pas l'investiture du PCF, dont la fédération avait fait le choix de soutenir le candidat PS sortant sur la base d'un accord de désistement dès le premier tour (accord à propos duquel les responsables fédéraux auront des comptes à rendre). Pour information, Maxime GREMETZ, en grand défenseur de l'identité communiste, avait décidé de soutenir de son côté... un patron de la zone franche (soutenu aussi en sous-main par DE ROBIEN) qui se présentait en "apolitique" ("ni droite de gauche, donc de droite", ça ne rappelle rien à personne ici?) était carté deux ans avant à l'UMP et a mené une campagne franchement communautariste. Fini de rigoler, donc, et fini le "double discours": nul n'est au-dessus des lois. Décision politique? Non, justice tout simplement. Mais peut-être ce mot a-t-il été oublié par certains?
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Z
Ne cotiserais-tu pas au Medef ou aux RG, ou à la CIA, ou au Mossad, mon cher Olivier, ou auprès de Casimir ce qui revient exactement au même.Zadig
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O
Grand délire paranoïaque... quand tu nous tiens...
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